Architecte Les Deux Alpes

QUI SOMMES-NOUS ?

« Une architecture éco-créative au coeur de son territoire »

Sens Montagne est née du regroupement entre les agences Cathy Pra-Lettry Architectes et Sens Architecture

L’agence s’inscrit dans la continuité des valeurs et savoir-faire développés ces 20 dernières années par les deux agences. D’une part, une démarche architecturale « éco-creative ». D’autre part, une expertise fine du contexte de la construction en montagne.

Elle se positionne essentiellement sur le secteur des stations et villages de moyenne altitude. 

Son implantation principale au cœur de l’Oisans dans la station des Deux Alpes participe à une volonté d’être localisée au cœur du territoire, de ses enjeux et de ses acteurs. 

Dans cette logique, Sens Montagne bénéficie également d’un bureau à Megève et d’un autre à Briançon permettant de répondre efficacement sur ces territoires.

ÉQUIPE

Notre équipe est dirigée par 4 architectes et ingénieurs associés : Guillaume Daydé, Stéphane Marteau, Olivier Noell et Gérald Fernez. Elle regroupe une pluralité de compétences essentielles au développement de projets complexes et qualitatifs. 

L’équipe se compose d’architectes, de dessinateurs, de conducteurs de travaux, d’économistes de la construction et d’ingénieurs de la construction.

Cette expertise pluridisciplinaire nous permet donc de répondre à une grande variété de programmes, dans un souci permanent de qualité architecturale, de justesse technique et d’équilibre environnemental.

PHILOSOPHIE D'AGENCE

« Être acteur d’une dynamique locale pour agir concrètement à l’échelle du territoire et non uniquement à l’échelle d’un bâtiment. »

L’évolution des territoires de montagne, notamment alpins, est un enjeu qui n’a jamais été autant d’actualité. L’accélération des changements climatiques y est plus perceptible qu’ailleurs et fait de ces territoires des avant-postes du développement urbain durable. C’est pourquoi, la transition écologique n’y est ni une option ni une nécessité, elle y est une urgence !

Les caractéristiques géophysiques de ces paysages ruraux, urbains, parcellés, découpés en vallées, plateaux, massifs plus ou moins connectés ou isolés en font un « archipel » de territoires aux limites claires. Elles offrent ainsi de nombreuses opportunités d’expérimentation sociale, économique, architecturale, urbaine et paysagère. 

Dans un tel contexte, nous considérons que notre action doit se situer au cœur de ces territoires. Elle privilégie une présence in situ, une connaissance des acteurs et des enjeux locaux favorisant une économie de proximité et une valorisation des circuits courts. 

Il est peu de contexte où l’architecture est autant dépendante du paysage que le contexte montagnard. En effet, ses paysages changent radicalement d’une saison à l’autre, d’une vallée à l’autre, d’un massif à l’autre…

La grandeur de ces paysages naturels reste le premier atout de ces territoires. Par conséquent, toute intervention bâtie doit participer à sa valorisation et doit en être le prolongement.

Construire en montagne n’est pas chose aisée. L’art y convoque une série de connaissances spécifiques dont la technicité, propre à chaque site, est très variable. 

Les risques naturels y sont omniprésents. Ils conditionnent le rapport au sol (risques sismiques, glissements de terrain, inondations), l’orientation, la forme, les façades (risques d’avalanches, vents, ruissellements sur versant…), l’enveloppe (amplitudes de température extrêmes, gel…) et la toiture (chutes de neige…).

Les contraintes d’accès constituent également une composante de taille. Elles peuvent devenir un facteur déterminant des choix techniques et architecturaux du projet, jusqu’à en influer sa forme.

Enfin, la saisonnalité y est bien plus marquée qu’ailleurs. L’enneigement souvent abondant, contraint les temps de chantier et impose des choix techniques et une organisation adaptée aux fenêtres météo disponibles. Dans ce contexte, la planification et l’anticipation sont essentielles.

La montagne est également le lieu des architectures les plus extrêmes. Par conséquent, c’est un terrain propice à l’innovation. L’autonomie des constructions y est souvent un véritable défi : autonomie énergétique, gestion de l’eau, traitement de l’eau, réemploi, gestion des déchets… C’est aussi un terrain d’expérimentation idéal pour des architectures de plus en plus sobres en besoins énergétiques.

Nous travaillons dans un contexte soumis à de nombreuses contraintes techniques, réglementaires et esthétiques. Mais à nos yeux, ces contraintes sont une opportunité et non une limite !